Journée d'étude "le vélo, une chance pour le train", 14 novembre 2016 à Paris

Le vélo et le train offrent une combinaison presque parfaite. Tant pour les voyages à vélo que les trajets quotidiens, le vélo a besoin du train. Cette option donne plus de rapidité, de souplesse et permet un choix varié de destinations.

En vacances, le train permet au cycliste voyageur d’aller à son point de départ, de revenir et aussi en cours de voyage de pallier quelques soucis (pluie, panne, fatigue).

Ces deux-là ont aussi des points communs: leurs avantages écologiques. Ils consomment peu d’énergie, ont une empreinte au sol limité, polluent peu pour le train ou pas du tout pour la bicyclette, créent peu de déchets (le vélo par sa légèreté, le train par sa longévité et son utilisation intensive).

Mais cette description quasi-idyllique ne doit pas cacher les difficultés. L’accès au train est souvent compliqué, des fois impossible. Les cyclistes sont parfois perçus comme des gêneurs alors qu’ils sont des clients fidèles et de plus en plus nombreux. Ainsi sur la Loire à vélo, 57 % des itinérants à vélo ont utilisé le train. Quelle autre catégorie a un tel usage du train ?

Le système ferroviaire est dans une situation très difficile et ceci se répercute bien entendu sur la place du vélo dans les trains. La tendance est de réduire les emplacements vélo, ce qui s’oppose à l’essor du tourisme à vélo en France, particulièrement net ces dernières années.

C’est pourquoi CyclotransEurope organise une journée d’étude sur le sujet le 14 novembre prochain à l'Hôtel de ville de Paris. 

 

Télécharger le programme complet de la journée.

Participation gratuite mais inscription en ligne obligatoire dans la limite des places disponibles sur www.eurovelo3.fr